À Oran, le ministre algérien des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a eu des entretiens clés avec son homologue ougandais, Odongo Jeje Abubakar. Ces discussions s’inscrivent dans le cadre des efforts pour renforcer la coopération bilatérale et explorer de nouvelles opportunités entre les deux pays. En marge du Séminaire de haut niveau sur la paix et la sécurité en Afrique, les deux responsables ont abordé des questions stratégiques essentielles telles que le Processus d’Oran et d’autres enjeux communs.
Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a récemment rencontré son homologue ougandais, Odongo Jeje Abubakar, à Oran. Ces discussions ont été organisées en marge du 11e Séminaire de haut niveau sur la paix et la sécurité en Afrique. L’objectif de cette rencontre était de renforcer les relations bilatérales entre l’Algérie et l’Ouganda et d’explorer de nouvelles opportunités de collaboration dans divers domaines.
Un cadre propice aux Ă©changes
La ville d’Oran a servi de toile de fond à ces pourparlers, soulignant l’importance de l’Afrique du Nord dans le paysage diplomatique africain. Ahmed Attaf a souligné le besoin d’accroître la coopération entre les deux nations, qui partagent des liens historiques et culturels forts. Lors de cette réunion, les discussions se sont concentrées sur l’évaluation des relations actuelles et sur les moyens d’aller plus loin.
Préparatifs pour la Commission mixte
Une des priorités abordées durant cette rencontre a été la préparation de la prochaine session de la Commission mixte, prévue pour le premier semestre de 2025. Les deux ministres ont discuté de l’organisation de cet événement crucial qui se veut un point de départ pour de nouvelles initiatives. Cette commission vise à établir des stratégies concrètes pour renforcer la coopération économique, politique et culturelle entre les deux pays.
Les enjeux Ă©conomiques et politiques
Les pourparlers ont également permis de mettre en lumière certaines questions économiques. L’Ouganda, avec un potentiel agricole énorme, pourrait devenir un partenaire clé pour l’Algérie en matière de Sécurité alimentaire. De leur côté, les responsables algériens envisagent de partager leur expertise dans divers domaines, notamment l’énergie et la gestion des ressources naturelles.
Un avenir prometteur pour l’Afrique
Les ministres ont convenu de la nécessité de renforcer les échanges dans le cadre du Processus d’Oran, qui vise à promouvoir la paix et la sécurité sur le continent africain. Ce cadre pourrait être le catalyseur nécessaire pour encourager davantage de pays africains à collaborer dans un esprit de fraternité et de solidarité.
Conclusion des discussions
En fin de compte, cette rencontre à Oran a jeté les bases d’une future coopération entre l’Algérie et l’Ouganda. Les deux pays semblent déterminés à travailler ensemble pour relever les défis communs qui se dressent devant eux. En effet, cette dynamique positive pourrait favoriser non seulement un développement bilatéral mais également une meilleure intégration des nations africaines sur la scène internationale. Cela témoigne d’un engagement partagé envers un avenir prometteur pour le continent africain.